Les 2 islams : seuls comptent le pouvoir de quelques-uns et la soumission de tous les autres
L’islam traditionnel
Aucune mesure, aussi dissuasive ou répressive soit-elle, ne permettra jamais de venir à bout du fondamentalisme islamiste si les pouvoirs publics ne s’attaquent pas à la vraie racine du mal : les principes érigés en dogme absolu par le Coran auquel, on l’a vu, se réfèrent plus de 80 % des musulmans français.
Ce que prônent les imams traditionnels, en parfaite cohérence avec les « textes sacrés », c’est notamment :
– la réclusion des femmes à la maison ;
– l’interdiction d’en sortir sans la permission du mari ;
– l’interdiction d’intervenir dans la société parce qu’elles rencontreraient des hommes ;
– l’obéissance inconditionnelle de la femme à son mari ;
– la peine de mort pour un musulman qui ne croit plus à l’islam ;
– la peine de mort pour une femme amoureuse d’un non-musulman ;
– la prétention d’imposer par la violence les normes sociétales de l’islam traditionnel à tous les non-musulmans ;
– le refus radical de la laïcité.
Ce sont les musulmans inféodés à un islam total qui pratiquent la violence : le Coran ordonne d’assassiner tous les chrétiens, traite les juifs de singes, de porcs et de falsificateurs des Écritures et ordonne de les tuer comme les chrétiens. Le Coran ordonne, dans 165 versets, de recourir à la violence, y compris sanglante, pour imposer l’islam. Cette prescription, radicalement incompatible avec notre Constitution, explique pour une large part la criminalité si élevée et le sentiment d’impunité d’une fraction des musulmans français. Cette fraction est composée de ceux qui ont fait le choix de rester totalement dans la mouvance islamique. Ils ont vu leur affectivité transformée par l’universalité de la soumission – l’homme domine sur la femme, le collectif sur l’individu, l’idéologie sur la raison, et cette soumission est imposée par la violence. Dans ce monde, seuls comptent le pouvoir de quelques-uns et la soumission de tous les autres.
La criminalité qui dévaste aujourd’hui notre pays est fondée sur cette fracture culturelle entre l’Occident et l’islam traditionnel. Les musulmans traditionnels sont en expansion rapide à la fois par la démographie et par la proportion de musulmans qui rejoignent chaque jour cette mouvance, en particulier chez les jeunes. Ce groupe rejette la France, souvent de manière violente.
Le voile
Il est faux de dire, et il faut le dire, que le voile est un signe de pudeur. Si vraiment les hommes musulmans étaient incapables de maîtriser leur lubricité, pourquoi les femmes devraient-elles être pénalisées pour la lubricité masculine ? Ce sont les hommes musulmans qui devraient porter des œillères au lieu de voiler leurs femmes. Ils ne devraient pas sortir de leur maison sans raison urgente, au lieu d’y confiner leurs femmes. C’est au coupable de porter la sanction de sa faute, et non à sa victime.
Le port du voile signifie l’acceptation par la femme de sa condition d’inférieure. Cette infériorité est inacceptable en France. Certaines musulmanes acceptent le voile, et même le revendiquent. Cela justifie-t-il le port du voile ? Non, d’abord parce qu’en bien des cas, elles n’acceptent le voile qu’en raison des violences qu’elles subissent quand elles le refusent. Tenir le voile pour légal en France, c’est abandonner aux violences des hommes musulmans les femmes qui veulent sortir de la servitude islamique.
Les agressions, les menaces, les pressions de toutes sortes des musulmans traditionnels contre les musulmanes ne sont nullement de simples incivilités ; il s’agit en réalité de tentatives pour détruire l’identité de la France, et la remplacer par celle de l’islam le plus traditionnel. Voiler les femmes, c’est voiler la liberté, la laïcité et l’égalité entre hommes et femmes, biens inaliénables de notre pays. Les pressions des musulmans traditionnels doivent être sanctionnées de manière suffisamment sévère pour protéger efficacement les femmes, en particulier contre le syndrome de Stockholm : les victimes intériorisent leur servitude et prennent le parti de leur asservisseur.