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Istres: ils scrutent les massifs à cheval
Posted On 11 Août 2017
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Publié le :
10/08/2017 à 17h00Par G.Saucerotte
10/08/2017 à 17h00Par G.Saucerotte
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Nicolas Voltz, directeur de la régie du Deven
Justine Rivière, responsable de la garde à cheval
La garde à cheval d’Istres redouble de vigilance. Pour cela, elle augmente le nombre de patrouilleursPour rejoindre la brigade il faut être un cavalier confirmé. « Parce qu’on doit être capable de maîtriser son cheval en cas de danger« , explique Justine Rivière la responsable de la garde à cheval. Le rôle de cette brigade est de surveiller les massifs istréens et d’aller à la rencontre des promeneurs. « Les patrouilles ont lieu deux fois par jour, explique Nicolas Voltz, le directeur de la régie du Deven. Les cavaliers ont pour mission d’expliquer aux personnes qu’ils rencontrent les règles de sécurité et de prévenir en cas de comportement à risque. » En lien direct avec la police municipale, rurale et les pompiers, ils ont été les premiers à donner l’alerte du feux de Ranquet. « Les pompiers sont intervenus de suite, c’est l’une des raisons pour lesquelles le feux a pu être maîtrisé rapidement », estime le directeur.
Chaleur et vigilance
« C’est un emploi très agréable quand on aime être à cheval, poursuit Justine Rivière. En revanche, il faut supporter la chaleur parce que nous sommes en tenue d’équitation et nous n’avons pas toujours affaire à des gens sympas même si globalement nous sommes bien accueillis. » Après la prévention, les cavaliers doivent aussi intervenir sur les zones touchées par le faux. « On repasse dans les endroits touchés, on surveille, il y a beaucoup de fumerolles, nous devons rapidement donner l’alerte pour éviter tout nouveau départ. »
Chaleur et vigilance
« C’est un emploi très agréable quand on aime être à cheval, poursuit Justine Rivière. En revanche, il faut supporter la chaleur parce que nous sommes en tenue d’équitation et nous n’avons pas toujours affaire à des gens sympas même si globalement nous sommes bien accueillis. » Après la prévention, les cavaliers doivent aussi intervenir sur les zones touchées par le faux. « On repasse dans les endroits touchés, on surveille, il y a beaucoup de fumerolles, nous devons rapidement donner l’alerte pour éviter tout nouveau départ. »
Ecoutez les interviews de Nicolas Voltz, directeur de la régie du Deven et de Justine Rivière, responsable de la garde à cheval (Loïs Elziere)