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Dispositif renforcé pour retrouver Maelys disparue à Pont-de-Beauvoisin en Isère
Le dispositif a été renforcé au 4ème jour de recherches pour tenter de retrouver la petite Maelys, disparue depuis dimanche 27 août 2017. Des gendarmes sont arrivés ce mercredi matin de Maison Alfort. Les plongeurs ont sondé un étang en vain.
Publié le 30/08/2017 à 16:03 Mis à jour le 30/08/2017 à 18:57
Et d’abord, à quoi ressemblent les lieux ? On décrit depuis le début de l’affaire une zone compliquée à fouiller car très boisée. La salle des fêtes est par ailleurs entourée de nombreux bâtiments. Comme on peut le voir sur la photo aérienne ci-dessous, un lycée avec ses nombreuses dépendances est situé tout près du lieu de la disparition.
Dès les premières heures de la disparition, tous ces bâtiments ont été fouillés. La maison du gardien de la salle des fête a également été visitée par les enquêteurs. A quelques centaines de mètres également, d’autres maisons ainsi qu’une piscine.
La rivière Le Guiers, située à quelques centaines de mètres, a aussi été sondée dans les premières heures, de même que 3 réservoirs d’eau situés en bordure de rivière.
Ce mercredi 30 août, un escadron mobile de gendarmes est arrivé en renfort de Maison Alfort. Au total, plus d’une soixantaine d’hommes sont désormais déployés sur le terrain. Parmi eux, 57 gendarmes à pied et 6 plongeurs. Ce matin, ces plongeurs ont fouillé minutieusement les eaux de deux étangs dont celui de Reculfort. Trois heures de recherches, épaule contre épaule pour les gendarmes, qui sont restées infructueuses.
Plongeurs recherchent Maelys
Les recherches se sont également poursuivies ce mercredi matin dans les zones boisées qui entouent la salle des fêtes. Les gendarmes ont publié sur twitter quelques photos et lancé une nouvelle fois un appel à témoins.
Notre journaliste sur place, Aurélie Massait, faisait le point sur les recherches à la mi-journée.
Enfin, parallèlement aux recherches, les auditions se poursuivent. Pour entendre les 250 témoins potentiels recensés, une grosse trentaine d’enquêteurs de la gendarmerie est également mobilisée. Le parquet devait débuter aujourd’hui l’examen des procès verbaux de ces auditions.
Pour en terminer avec le dispositif, pas de possibilité de recourir à l’hélicoptère aujourd’hui. La détection thermique est en effet impossible en raison des fortes températures.