Le militaire était père de deux jeunes enfants. Il s’est donné la mort alors qu’il était en repos.
Âgé de 36 ans, Remy J. était affecté au peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) d’Avoine (Indre-et-Loire). Un peloton chargé de la surveillance de la centrale nucléaire.
Le gendarme s’est suicidé ce samedi 26 mai, avec son arme de service, lors d’une journée de repos. L’homme était père de deux jeunes enfants selon l’Association Gendarmes et Citoyens.
La brigade de recherches de Chinon est chargée de l’enquête.
Trois autres suicides en mai
Au moins trois autres gendarmes se sont ôtés la vie durant le mois de mai, à Dijon, un second dans la Sarthe et un troisième en Alsace, comme nous l’écrivions la semaine passée.
En 2017, ce sont 49 policiers et 16 gendarmes qui ont mis fin à leurs jours.