Suivez nous sur nos autres médias :

SNPM Syndicat National des policiers Municipaux

Derniers Articles

Actualité SNPM

31 – Congrès des policiers municipaux

Jean-Marc Jofre, président national, entouré de Bertrand Calas (à gauche) et de Christophe Durousseau./Photo DDM.

Lundi 20 et mardi 21 avril, le syndicat national des policiers municipaux tient son assemblée générale exceptionnelle dans les salons de l’Holiday Inn à Blagnac. Affilié à la CFE-CGC, il est l’équivalent pour les policiers municipaux d’Alliance Synergie Officiers regroupant les cadres de la police Nationale et rassemble 2 000 adhérents de métropole et d’outre-mer. Lors de ces deux jours, il sera procédé, par la cinquantaine de participants, au renouvellement des membres du bureau.

Parmi ces derniers figurent, comme vice-président national et délégué régional, Bertrand Calas, bien connu des Blagnacais, car exerçant son activité professionnelle dans la ville, tout comme Christophe Durousseau, délégué régional également et membre du conseil national. Tous les deux ont en charge l’animation de la grosse centaine d’adhérents présents sur les huit départements de Midi-Pyrénées. 

source : http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/21/2090966-congres-des-policiers-municipaux.html

Posted On 21 Avr 2015
, By

Actualités CFE-CGC

Actualité PM

LE CANNABIS : FAUX MÉDICAMENT ET VRAIE DROGUE AUJOURD’HUI Et c’est reparti pour des présentations enthousiastes, qui précèdent les études qui pourraient éventuellement les justifier. Jean Costentin Docteur en médecine Des trompettes de Jéricho font à nouveau retentir leurs sonneries (qui pourraient, en l’occurrence, s’écrire avec un c sans cédille) en faveur du « cannabis thérapeutique ». Elles voudraient abattre les murailles qui protègent encore le concept de médicament. Ce ne serait plus les pharmacologues, les toxicologues et les thérapeutes qui élèveraient une molécule à la dignité de médicament. Cela deviendrait l’apanage d’une opinion publique manipulée par des lobbies mercantiles ou mus par la volonté de détruire notre société. Reportons-nous au sondage initié par le think tank Terra Nova épaulé par « France un faux ». Le cannabis, et maintenant certains de ses cannabinoïdes, sont une anthologie de ce type de manipulations. On remarquera d’emblée que, malicieusement, les États qui ont légalisé le cannabis l’ont préalablement travesti en médicament. D’importants éléments pharmacologiques et thérapeutiques s’opposent à ces menées. Alors que les cigarettes antiasthmatiques ont été éliminées de la pharmacopée il y a quarante ans et que le tabac fumé tue 69.000 Français chaque année, d’aucuns ont malgré tout le front de prôner l’usage de « pétards » thérapeutiques ! Un médicament est une substance pure exerçant un effet principal et, au plus, quelques effets latéraux. Le seul THC, principal principe actif, parmi cent autres cannabinoïdes présents dans le cannabis, développe à lui seul de multiples effets en raison du caractère ubiquiste de ses cibles biologiques. Il manque terriblement de spécificité d’action ; or, exit, désormais, en thérapeutique, les panacées et thériaques du passé. Une relation effet-dose précise est indispensable pour établir une posologie adéquate ; or, le THC agit à des concentrations de l’ordre du millionième de gramme par litre de sang. Il est stocké dans les tissus riches en graisse, ce qui est suivi de son très lent relargage ; ce qui rend ses posologies très approximatives et lui confère une durée d’action de plusieurs semaines après sa dernière administration. Par surcroît, le THC interagit avec différentes substances exogènes d’usage fréquent : alcool, anxiolytiques, hypnotiques… Mais, surtout, ce qui qualifie comme tel un médicament, c’est un très haut rapport entre les bénéfices retirés par le patient et les risques encourus en le consommant. Les bénéfices du THC sont modestes, comparés à ceux de vrais médicaments disponibles. Par contre, les risques encourus sont nombreux et parfois graves. En ce qui concerne le psychisme : c’est une drogue (génératrice d’addiction) ; inductrice d’ivresse, sédative, incompatible avec la conduite automobile et diverses activités professionnelles ; désinhibitrice, incitant à des prises de risques ; elle devient anxiogène après avoir été anxiolytique ; elle induit au long cours une dépression de l’humeur ; elle détermine ou décompense ou aggrave la schizophrénie ; elle perturbe la mémoire à la façon de la maladie d’Alzheimer ; elle trouble la cognition (« crétinisante », « le chichon, ça rend con », « la fumette, ça rend bête ») ; elle mène à l’aboulie, à la démotivation (« pétard du matin, poil dans la main ; pétard du soir, trou de mémoire »). À cela s’ajoutent ses méfaits physiques : dépression de l’immunité ; toxicité cardio- vasculaire : artérites, accidents vasculaires cérébraux, déclenchement d’infarctus du myocarde ; troubles endocriniens ; elle perturbe la grossesse et a des conséquences physiques et psychiques négatives pour l’enfant qui en naîtra. Contraints d’abandonner l’apologie de ce THC très dévalué, ceux qui veulent à tout prix trouver des justifications thérapeutiques au cannabis reportent leurs espoirs déçus sur une molécule voisine, le cannabidiol (ou CBD), toujours sournoisement associée à une petite dose de THC (0,2 %). Et c’est reparti pour des présentations enthousiastes, qui précèdent les études qui pourraient éventuellement les justifier. « Dépêchez-vous d’en prendre, pendant que ça guérit. » inShare

Posted On 01 Juil 2018
, By
Off

Communiqués de Presse

Voir tous les articles

Vidéo