Toulouse : le premier radar autonome de la Métropole sera installé à l’ouest de la ville
Un radar autonome sera installé à demeure sur la rocade Arc-en-Ciel, à l’ouest de Toulouse, en 2018. Un axe où la vitesse vient déjà d’être abaissée de 110 à 90 km/h. Explications.
Il va (vraiment) falloir lever le pied sur la rocade Arc-en-Ciel, qui relie Saint-Martin-du-Touch à la zone de Basso-Cambo, à l’Ouest de Toulouse, et permet notamment de desservir Tournefeuille. Déjà, en début de semaine, la vitesse a été réduite de 110 à 90 km/h du jour au lendemain sur cet axe. Et bientôt, « courant 2018 », indique la préfecture, un radar y sera installé. Il s’agira d’un radar autonome, le tout premier de la Métropole, même si des appareils du même type ont déjà été installés il y a quelques mois à quelques kilomètres de là, à Frouzins (Haute-Garonne), près de Muret.
Des radars de chantier… devenus permanents
À l’origine utilisés sur des chantiers, comme ce fut le cas sur le périphérique de Toulouse lors de l’aménagement de l’échangeur de Borderouge, ces radars de chantier sont rapidement devenus… des radars permanents. Ce sont surtout des radars « ambulants », qui peuvent être déplacés facilement et régulièrement, le long d’un axe routier, et des deux côtés.
La préfecture de la Haute-Garonne précise que « des contrôles de vitesse seront réalisés » par les forces de l’ordre sur cet axe, après « un temps d’adaptation » des automobilistes.