La rencontre était initiée par la municipalité, la gendarmerie florentaise et la police municipale.
Les différents intervenants ont expliqué aux participants, le mode de fonctionnement de la vidéoprotection à ne pas confondre avec la vidéo-surveillance. Dans la vidéoprotection, aucun opérateur n’est derrière des écrans, les images sont enregistrées et détruites après quinze jours. Dans la vidéo surveillance, un opérateur veille et surveille.
Les 21 caméras, sur 11 points d’installation, ont été évoquées car ces moyens d’observations ne peuvent pas être installés partout.
En priorité sur l’axe de la RN 151
Il a donc été choisi de les placer en priorité sur la route nationale 151, les bâtiments publics (mairie, écoles…), commerces et le marché du vendredi.
Ces images ne pourront pas être exploitées par la police municipale en directe, mais uniquement sur réquisition des gendarmes qui pourront s’en servir pour résoudre une affaire ou pour obtenir un complément d’information.
Ce projet devrait voir le jour l’année prochaine, voire en 2019.
D’autres points sensibles comme les entrées de la ville, l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes pourraient être intégrés à un second projet d’ici quelques années.