Le réseau de Voisins vigilants est mis en place en ville et dans certains quartiers. Il reste encore à l’étoffer.
Vingt-trois habitants de Loches ont été choisis pour intégrer le réseau local connu sous le nom de Voisins vigilants, mais dont la formule politiquement correcte est Participation citoyenne. Ce dispositif a été officiellement signé lundi 27 novembre en mairie de Loches, par le sous-préfet Pierre Chauleur, le commandant du groupement de gendarmerie d’Indre-et-Loire Gonzague Prouvost, le maire de Loches Marc Angenault et son adjoint à la Sécurité Bertrand Luquel.
Quartiers à renforcerComme à chaque signature de ce protocole, les autorités présentes insistent sur l’implication citoyenne et le civisme de ces voisins vigilants, qui acceptent de jeter un œil sur leur environnement immédiat, dans leur quartier, et préviennent les forces de l’ordre en cas de situation suspecte ou d’acte de délinquance.
Le commandant Prouvost parle de « dynamique de coproduction de sécurité ». Ces personnes dites référentes « nous aident à obtenir des renseignements, à orienter la brigade de gendarmerie, nous apporter une connaissance du milieu pour résoudre des affaires », souligne-t-il.
La mise en place de ce dispositif a demandé un certain temps de réflexion de la part de la mairie. Le maire espère une certaine vigilance vis-à-vis des problèmes de cambriolages dans les quartiers de la ville, en complément du travail de la police municipale et de la gendarmerie. « Ce n’est pas être délateur, mais bien rendre service à ses concitoyens, dit-il. Cela a demandé une certaine gestation, on ne voulait pas que cela se passe n’importe comment. Dans un village ou un bourg, la relation entre les gens est plus étroite. Il y avait une certaine appréhension de la part de certains habitants. La mairie a été extrêmement pointilleuse sur le choix des personnes qui participent à cette action ».
La Ville avait lancé un appel pour trouver des candidats. Une sélection a été opérée avec la gendarmerie pour éviter les profils un peu trop « cow-boy ». Courant décembre, la municipalité va de nouveau solliciter les habitants pour étoffer ce réseau. « Il faudrait des référents mieux répartis sur l’ensemble des quartiers. Nous en avons en centre-ville, à Neuville et Puygibault, indique Bertrand Luquel, et il faudrait renforcer les secteurs de Mauvières, Vautrompeau, Corbery, les Petites Maisons ».
Quartiers à renforcerComme à chaque signature de ce protocole, les autorités présentes insistent sur l’implication citoyenne et le civisme de ces voisins vigilants, qui acceptent de jeter un œil sur leur environnement immédiat, dans leur quartier, et préviennent les forces de l’ordre en cas de situation suspecte ou d’acte de délinquance.
Le commandant Prouvost parle de « dynamique de coproduction de sécurité ». Ces personnes dites référentes « nous aident à obtenir des renseignements, à orienter la brigade de gendarmerie, nous apporter une connaissance du milieu pour résoudre des affaires », souligne-t-il.
La mise en place de ce dispositif a demandé un certain temps de réflexion de la part de la mairie. Le maire espère une certaine vigilance vis-à-vis des problèmes de cambriolages dans les quartiers de la ville, en complément du travail de la police municipale et de la gendarmerie. « Ce n’est pas être délateur, mais bien rendre service à ses concitoyens, dit-il. Cela a demandé une certaine gestation, on ne voulait pas que cela se passe n’importe comment. Dans un village ou un bourg, la relation entre les gens est plus étroite. Il y avait une certaine appréhension de la part de certains habitants. La mairie a été extrêmement pointilleuse sur le choix des personnes qui participent à cette action ».
La Ville avait lancé un appel pour trouver des candidats. Une sélection a été opérée avec la gendarmerie pour éviter les profils un peu trop « cow-boy ». Courant décembre, la municipalité va de nouveau solliciter les habitants pour étoffer ce réseau. « Il faudrait des référents mieux répartis sur l’ensemble des quartiers. Nous en avons en centre-ville, à Neuville et Puygibault, indique Bertrand Luquel, et il faudrait renforcer les secteurs de Mauvières, Vautrompeau, Corbery, les Petites Maisons ».